Cette crise économique mondiale a des répercussions politiques dégoûtant en Europe. La Suisse est soumis à des pressions inacceptables et de traitement, et les gens européenne doit défendre ce phare de la structure sociale bourgeoise contre les mauvaises intentions de certains gouvernements voyous européenne.
Comme avec toute la peste, les plus faibles sont condamnés à périr et les plus forts sont susceptibles de survivre. Avec cette récession exceptionnellement sévère, les pays avec le gouvernement inefficace, comme l’Italie, sont confrontés à une faillite imminente. Alors que les pays avec un système politique responsable, comme la Suisse, sont en mesure de fournir l’ossature stable de son économie.
Idéalement, ces temps difficiles, devrait stimuler les réformes politiques dans un pays comme l’Italie inefficaces. L’Etat italien a accumulé le plus de la dette nationale en Europe (120% de la production nationale en 2010), et il ne cesse de croître à un espace rapide avec l’un des déficits les plus (6% de la production nationale en 2010) dans le continent. Rome impose parmi les plus lourdes charges budgétaires en Europe, et en retour il fournit médiocre des services publics que les citoyens qui souhaitent quitter ils ont résidé en Suisse voisine.
Au lieu de répondre à la crise récente avec les réformes politiques (en prenant peut-être par exemple du système suisse), l’Italie prend une attitude déplorable contre la Suisse. Il tente désespérément d’attirer dans toutes les ressources financières qu’il peut, afin de retarder le plus possible sa mise en faillite nationale inévitable.
Le Parti National Vénète (Partito Nasional Veneto – PNV) a déjà condamné le gouvernement italien attitude indifférente en ce qui concerne les atteintes inacceptables par le leader libyen contre la souveraineté de la Suisse (voir article). PNV maintenant aussi désapprouve fortement l’agression financière récente de l’Italie contre la Suisse.
Y compris la Suisse sur une liste noire des pays dont les dépôts bancaires doivent retourner à être régularisés, est risible au mieux. C’est une attaque honteuse contre le système financier d’un voisin, et il ne devrait pas être pardonné. Il ne peut être excusé en particulier parce qu’il semble être vendetta personnelle du Premier ministre italien. Sa société Mediaset, par coïncidence, est présentement sous enquête pour blanchiment d’argent par des magistrats suisses.
Alors la Suisse envisage des formes de représailles. Les idées ont varié d’imposer des limites sur les camions italiens, tout le chemin de l’instauration d’une taxe de 5% sur le capital de quitter le pays. Toutes ces répercussions proposées, allant des plus douces aux plus irrationnels, sont de mauvaises idées.
De répondre avec sanction économique est une méthode qui mai à l’encontre d’autres démocraties. Les citoyens italiens se sentent le poids de ces sanctions, ils ont mis la pression sur les hommes politiques italiens pour désamorcer la situation, et arrêter en conséquence les hommes politiques italiens se comporte comme un dictateur nord-africains.
Pensons plutôt que l’Italie est un dysfonctionnement de la démocratie. Ces sanctions finira par faire du tort à la fois les citoyens suisses et italiens, qui n’ont pas de pouvoir faire pression sur les chefs de partis. En particulier, le patron des patrons protège déjà ses intérêts personnels, et de sanctionner la circulation des camions sera au mieux chatouiller lui et sa bande parlementaire.
La Suisse doit adopter une attitude plus prévoyante. Il ne peut pas se permettre d’avoir un État d’Afrique du Nord le long de sa frontière sud. Un voisin qui a encore aspirations territoriales du Grand Italie étendant aux cantons suisses du Sud. C’est un pays avec une structure publique dysfonctionnelles qui épuise les richesses de ses citoyens, dévoré par des entreprises mafieuses à la péninsule.
La Suisse a besoin plus de voisins, comme lui-même. Elle a besoin d’être entouré par d’autres pays petit et efficace, comme il a été pendant des siècles avant la création de grandes entités nationales. N’oubliez pas que le Royaume d’Italie a d’abord été créée par Napoléon, le dictateur français a pris le canton suisse de la Valteline et l’a annexé à son état de marionnettes.
Il est temps pour les citoyens suisses à repenser leur neutralité, et commencer à se mêler de politique voisins. Peuple suisse doit soutenir les mouvements politiques étrangers qui s’efforcent d’établir une société comme la leur. Les entreprises suisses doivent financer les partis politiques qui travaillent activement le chemin juridiques internationaux vers un équilibre géopolitique.
Tout Suisse devrait soutenir des initiatives comme Veneti al 1000×1000. Nous Vénitiens besoin de votre aide afin que nous puissions apporter les changements nécessaires à notre système politique regrettable. Nous avons honte de faire partie d’un pays qui est si hostile au modèle suisse. En tant qu’État indépendant, nous avons été pendant des siècles, des voisins amicaux aux Suisses. Ils avaient des systèmes similaires basés sur la politique décentralisée et le respect des libertés civiles. Nous avons encore un sens civique aigu des responsabilités, et nous plaidons en faveur de l’aide avant d’un système corrompu italien change complètement nos habitudes.
Suisse, s’il vous plaît nous aider à être des voisins mieux.
Filipo Dal Lago
If you liked my post, feel free to subscribe to my rss feeds